Lentement, je montai la rue Crébillon, surpris de la trouver presque déserte à l’heure où elle est encombrée, d’habitudes, par les promeneurs et par les élégantes Nantaises. Ce vide fit que je remarquai ce qui d’autres fois m’avait échappé : à gauche, et un peu retrait de la rue Crébillon, il y a comme une très petite place, où s’ouvre l’entrée d’un passage qui est surmontée de cette inscription en caractères dorés sur fond noir