Au loin dans les plaines, on voit des coupoles blanches, de cette blancheur diaphane des marbres qu’aucune peinture, aucun revêtement ne saurait imiter ; elles émergent çà et là du brouillard de poussière qui traîne le sol, et qui bleuit ou s’irise avec le soir (…) Et le plus grand de ces dômes est le Taje, l’incomparable Taje, où la grande sultane Muntaz Mahal dort depuis deux cent soixante-dix ans (…)