Est-ce donc dans un lieu consacré au plaisir que le public doit craindre pour sa vie !
Quel désordre affreux, quels épouvantables malheurs si, par la seule appréhension d’un événement funeste, l’effroi s’emparait des esprits, comme cela est arrivé à l’ancien théâtre des Italie.
Ces pensées m’ayant fait frémir, je me suis dit : tu n’entreprendras pas de faire un théâtre ou bien tu trouveras les moyens de le rendre incombustible.