Dans la droite ligne des théories hygiénistes de l’époque, le Familistère offre l’eau courante, des bains, des cabinets d’aisance à tous les étages, et des espaces bien aérés et éclairés. Une buanderie collective permet de laver le linge. Placée entre la fabrique et les habitations, elle est complétée par des douches où les ouvriers peuvent faire halte après le travail. La lumière, vue comme une évidente métaphore de la connaissance et du progrès, est omniprésente : les verrières ouvrent sur le ciel, les appartements sont traversants.