Dans le labyrinthe de son cerveau, l’homme est invité à explorer sans cesse de nouveaux territoires. La psychanalyse ne désigne-t-elle pas l’inconscient comme un monstre tapi au fond d’un labyrinthe et ne se donne-t-elle pas comme objet de comprendre les rêves où le dormeur est confronté au choix angoissant d’un chemin à prendre dans un dédale d’interdits ? Il nous faut donc apprendre à penser labyrinthe.