Tony Garnier imagine une cité aux habitations de faible hauteur, entourées d’espaces verts ouverts à tous. Les clôtures autour des maisons sont prohibées : les circulations en tous sens doivent être facilitées. Certaines rues plantées d’arbres sont réservées aux piétons pour qui sont même ménagés des passages sous certains édifices. Seules les rues les plus larges accueillent des véhicules.