Un récit composé par le poète Tao Qian (365-427) rapporte comment un pécheur de Wuling découvrit par hasard une colonie vivant totalement coupée du monde depuis cinq siècles. Cette société formait un modèle utopique, échappant à l’impôt, ne connaissant que joie, insouciance, paix et abondance. Se conformant à un certain idéal érémitique, ce hameau tente de restituer le charme d’un tel lieu.
En 1726, l’endroit servit de résidence et d’étude au futur Qianlong qui n’était alors qu’un jeune prince.