Au Moyen Âge, la viande est consommée en bien plus grandes quantités qu’on ne l’a longtemps cru. Dans la trilogie carnée de l’époque, les préférences allaient au bœuf, puis aux ovicaprins (mouton et chèvre), enfin seulement au porc, sauf en milieu aristocratique où manger du cochon (l’animal jugé le plus proche de l’homme) est apprécié