Atelier au rez-de-chaussée, logement au premier. Ledoux conçoit sur le même modèle les espaces des corps de métiers indispensables à la saline.
Fidèle à son principe d’accorder autant d’importance à "une guinguette qu’à un palais", il habille cette hutte à toit pointu d’une forêt de colonnes, si nombreuses qu’elles se touchent ! Ces dernières évoquent évidemment les troncs manipulés par les scieurs, mais renvoient sans doute aussi aux critiques du roi sur le premier projet de saline : trop de colonnes pour un bâtiment industriel.