Le Corbusier se revendique profondément athée. Pourtant il accepte en 1950 la reconstruction d’une chapelle vosgienne détruite par les bombardements de la guerre. En faisant dialoguer son édifice avec le terrain, en travaillant les formes et les lumières, l’architecte cherche à faire naître le "sentiment du sacré", qui pour lui n’est pas forcément lié à la religion.