Lieu de cultes, le site présente les signes de plusieurs influences : bouddhisme, taoïsme, lamaïsme, courants populaires, voire discrète évocation chrétienne inspirée par les ingénieurs jésuites avec la tour de l’horloge aux chiffres romains. Une telle diversité d’inspiration illustre l’éclectisme religieux de l’empereur Yongzheng, pieux jusqu’à la superstition, qui convoquait toute divinité susceptible de protéger sa personne et plus largement l’empire.