En 1 830, ce caricaturiste donne à Louis-Philippe, tout juste roi, les traits d’un maçon chargé de reconstruire l’unité du pays. On reconnaît la truelle dans sa main droite et l’auge à ses pieds. Louis-Philippe est habillé d’une blouse et d’un pantalon large et bouffant appelé “pantalon de fatigue” qui semble rapiécé au genou. Passés par-dessus les habits, ces “sur-vêtements”, réalisés dans un tissu raide et épais, protègent contre la poussière et les coulées d’enduit.