Le parement

Techniques de maçonnerie romaine : opus incertum et opus reticulatum
Les constructeurs romains de l’Antiquité ont recours à différentes techniques de maçonnerie. Les techniques de parement, qui permettent de dissimuler une maçonnerie grossière, sont aussi variées :
- Appareil irrégulier (opus incertum) : des petits blocs non taillés sont posés les uns sur les autres, maintenus par un épais lit de mortier.
- Appareil en forme de filet (opus reticulatum) : les pierres sont taillées en petits blocs cubiques, posés sur la pointe et formant des lignes diagonales. Les maçons utilisent parfois deux couleurs pour composer un damier.
- Appareil en bandelettes (opus vittatum) : les pierres rectangulaires ou cubiques sont posées de façon régulière et forment de longues bandes.
- Appareil en épi (opus spicatum) : les briques ou les pierres plates sont posées en épis, ou en arêtes de poisson, technique reprise par le constructeur du dôme de Florence à la Renaissance.
- Appareil irrégulier (opus incertum) : des petits blocs non taillés sont posés les uns sur les autres, maintenus par un épais lit de mortier.
- Appareil en forme de filet (opus reticulatum) : les pierres sont taillées en petits blocs cubiques, posés sur la pointe et formant des lignes diagonales. Les maçons utilisent parfois deux couleurs pour composer un damier.
- Appareil en bandelettes (opus vittatum) : les pierres rectangulaires ou cubiques sont posées de façon régulière et forment de longues bandes.
- Appareil en épi (opus spicatum) : les briques ou les pierres plates sont posées en épis, ou en arêtes de poisson, technique reprise par le constructeur du dôme de Florence à la Renaissance.
© Nathalie Ryser

Arc de pierre à Herculanum et technique de l’opus reticulatum
Alliée à celle du blocage, la maîtrise du béton va permettre aux Romains de construire des structures très solides et d’un seul tenant, et de développer de nouvelles formes architecturales, inconnues des Grecs : la voûte et la coupole. Ils peuvent ainsi construire rapidement et à moindres frais des bâtiments de grande envergure, reposant sur des arcs : la coupole du Panthéon, des thermes, ou encore des aqueducs comme le pont du Gard, où l’utilisation pour la canalisation d’un mortier de tuileau (mélange de chaux grasse, de briques et de tuiles broyées) assure l’étanchéité du dispositif.
© Nathalie Ryser
Les techniques de parement, qui permettent de dissimuler une maçonnerie grossière, sont tout aussi variées :
- Appareil irrégulier (opus incertum) : des petits blocs non taillés sont posés les uns sur les autres, maintenus par un épais lit de mortier.
- Appareil en forme de filet (opus reticulatum) : les pierres sont taillées en petits blocs cubiques, posés sur la pointe et formant des lignes diagonales. Les maçons utilisent parfois deux couleurs pour composer un damier.
- Appareil en bandelettes (opus vittatum) : les pierres rectangulaires ou cubiques sont posées de façon régulière et forment de longues bandes.
- Appareil en épi (opus spicatum) : les briques ou les pierres plates sont posées en épis, ou en arêtes de poisson, technique reprise par le constructeur du dôme de Florence à la Renaissance.