Un verre qui respire

Du verre qui "respire"
Comme pour les autres matériaux, le verre transparent est employé à une échelle inhabituelle à la bibliothèque François-Mitterrand, avec une surface globale de 80 000 m2 composée de panneaux résistants au feu. Les panneaux des façades des quatre tours sont doubles, avec une couche d’air de 9 cm d’épaisseur qui évite condensation et buée ; les techniciens parlent de "verre respirant".
Dans un premier temps, le projet prévoit d’utiliser pour les tours des verres photochromiques, qui se teintent en fonction de l’intensité lumineuse et auraient ainsi protégé les collections. Mais ces verres ne peuvent alors être réalisés que dans des dimensions assez modestes (panneaux de 1 m sur 2), qui ne correspondaient pas au projet. C’est pourquoi l’idée est finalement abandonnée.
© Jean-Christophe Ballot / BnF
© Jean-Christophe Ballot / BnF
Comme pour les autres matériaux, le verre transparent est employé à une échelle inhabituelle, avec une surface globale de 80 000 m2 composée de panneaux résistants au feu. Les panneaux sont doubles, avec une couche d'air de 9 cm d’épaisseur qui évite condensation et buée ; les techniciens parlent de "verre respirant".
Dans un premier temps, le projet prévoit d’utiliser pour les tours des verres photochromiques, qui se teintent en fonction de l’intensité lumineuse et auraient ainsi protégé les collections. Mais ces verres ne peuvent alors être réalisés que dans des dimensions assez modestes (panneaux de 1 m sur 2), qui ne correspondaient pas au projet. C’est pourquoi l’idée est finalement abandonnée.