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  3. Sur les toits…
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Sur les toits…

Des couvreurs au travail au Moyen Âge
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Les couvreurs, "embarras de Paris"
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Couvreurs sur un toit de chaume
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Couvreurs sur un toit d’ardoise
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55 000 artisans sur le chantier du Paris haussmannien
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Couvreurs sur un toit au Japon
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Les couvreurs zingueurs au 19e siècle
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Couvreur travaillant sur le toit d’une église à une grande hauteur
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À la belle étoile
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Danse sur les toits de Paris
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Personnes costumées assises sur le faîtage d’un bâtiment
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Bain de soleil à New York
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Équilibriste
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Les toits sont aussi un lieu de mondanités apprécié !
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Gymnastique sur les toits à Vienne
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Piste de décollage
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Inondations, où se réfugier ? Sur le toit !
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En 1942, déjà des toits végétalisés
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Les toits ne sont pas des lieux comme les autres… Les couvreurs qui les construisent voient la vie d’en haut, découvrent des perspectives inattendues, mais ils y risquent aussi leur vie. À toutes les périodes, une riche iconographie représente le couvreur au travail, mais aussi les accidents liés à son métier.
Une fois construits, les toits sont normalement destinés à rester au-dessus de nos têtes, pour les garder à l’abri des intempéries. Mais quand on y monte, ce sont à coup sûr des moments exceptionnels, et bien souvent, c’est pour y faire la fête.

Des couvreurs au travail au Moyen Âge

Charlemagne édifiant des églises
Au Moyen Âge, une bonne partie des toitures sont faites de planches de bois (ou "bardeaux"). Mais les tuiles sont aussi utilisées depuis l’Antiquité. Ici, des couvreurs clouent les tuiles sur les chevrons de la charpente pour couvrir une église.
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© BnF

Les couvreurs, "embarras de Paris"

Cette image évoque en raccourci les multiples embarras que l’on peut vivre dans une grande ville comme Paris. Une rue en perspective concentre tous les pires maux : enfant tombé sous les sabots d’une mule, vol à la tire, incendie, aveugles tombés dans un trou… En haut à gauche : "Couvreur, vous cassez nos tuiles ! ", s’écrie une femme, tandis que le couvreur chute du toit. Les chutes d’objets et de matériaux depuis les toits ne faisaient pas alors l’objet de beaucoup d’attention…

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  • 18e siècle
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© BnF

Couvreurs sur un toit de chaume

Cet Art du couvreur du 18e siècle montre des artisans en train de mettre en place un toit de chaume, matériau le plus couramment employé à la campagne.
Au fond à droite, le chaumier cueille le chaume avec une serpe. Au premier plan, d’autres artisans les lient en bottes et les transportent sur le toit.
Sur le toit, un couvreur pose et fixe le chaume. La partie inférieure de l’image permet de découvrir les outils nécessaires à la pose de ce type de couverture. Elle montre aussi la manière dont les bottes sont liées, ainsi que la pente assez forte (autour de 45°) nécessaire pour qu’un toit de chaume reste étanche (l’eau doit pouvoir y ruisseler sans stagner).

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  • 18e siècle
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© BnF

Couvreurs sur un toit d’ardoise

Sur un toit en ardoise partiellement couvert, trois couvreurs sont au travail. À gauche sur l’échelle, le premier monte des feuilles d’ardoise vers le faîtage. Le second découpe les feuilles à la forme voulue avec son marteau de couvreur. Le troisième cloue les feuilles sur les montants en bois (voligeage).
Un dernier artisan à gauche, suspendu au toit, assis sur une plate-forme de bois, permet de se faire une idée des dispositifs mis en œuvre pour s’arrimer au toit. On peut les observer, ainsi que les outils du couvreur en ardoise, dans la partie inférieure de la planche.

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  • 18e siècle
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© BnF

55 000 artisans sur le chantier du Paris haussmannien

Construction de l’Opéra Garnier, ouvriers travaillant du côté de la Rue Gluck

La construction de l’opéra Garnier fait partie du vaste chantier lancé par Haussmann pour remodeler entièrement Paris. cette entreprise gigantesque mobilise près de 55 000 artisans. Quelques 8 000 entreprises spécialisées emploient environ 31 000 maçons, 5 000 charpentiers, 3 500 couvreurs, 8 000 menuisiers, 600 peintres et 6 000 serruriers métalliers.

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  • 19e siècle
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© INHA

Couvreurs sur un toit au Japon

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  • 19e siècle
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© BnF

Les couvreurs zingueurs au 19e siècle

Avec la généralisation du zinc, le métier de couvreur change : les couvreurs qui manipulaient le plomb se convertissent en zingueurs. De nouveaux outils apparaissent, comme la plieuse d’établi, sorte de presse qui sert à plier et façonner les feuilles de zinc. Installée directement sur le toit, la plieuse donne la possibilité de fabriquer sur-le-champ les pièces simples et les compléments.
Le procédé de pose du zinc est similaire à celui du plomb : les feuilles sont fixées sur des liteaux par des attaches, encastrées ou soudées à l’étain. À la fin de l’ouvrage, toute soudure voyante est éliminée avec une lime et un grattoir.

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  • 19e siècle
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© BnF

Couvreur travaillant sur le toit d’une église à une grande hauteur

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© BnF

À la belle étoile

Quand la couverture est achevée, le toit est parfois investi par les habitants de l’immeuble. Par grandes chaleurs notamment…
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© BnF

Danse sur les toits de Paris

En 1936 en France, le gouvernement de Front populaire instaure la semaine de 40 heures et les congés payés d’une durée de deux semaines. Est-ce par hasard si au même moment on danse sur les toits de Paris ?
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© BnF

Personnes costumées assises sur le faîtage d’un bâtiment

Saint Cyr, fête du triomphe
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© BnF

Bain de soleil à New York

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© BnF

Équilibriste

L’équilibriste Smith faisant des exercices périlleux sur le toit d’un immeuble de Chicago
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Les toits sont aussi un lieu de mondanités apprécié !

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© BnF

Gymnastique sur les toits à Vienne

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© BnF

Piste de décollage

Les toits des Galeries Lafayette deviennent même une piste de décollage pour l’avion de Mme Herveux en 1932.
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© BnF

Inondations, où se réfugier ? Sur le toit !

Inondations en Yougoslavie
En cas d’inondations, les toits sont souvent le dernier refuge des sinistrés avant l’arrivée des secours.
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© BnF

En 1942, déjà des toits végétalisés

En 1942, pendant la Seconde Guerre mondiale, on cultive des légumes sur les toits de Paris !
Aujourd’hui, les toitures végétalisées se développent partout, nouveau défi pour les couvreurs. Un système de végétalisation de toiture est un ensemble de matériaux et de végétaux mis en place sur une toiture (ou une toiture-terrasse) avec l’objectif d’assurer la pérennité de la végétation comme de la construction. Un des éléments fondamentaux de la toiture est l’élément porteur (dalle béton, bac acier, panneaux bois,...). Un revêtement d’étanchéité, résistant à la pénétration des racines est indispensable. Une isolation thermique, généralement placée sous le revêtement d’étanchéité, complète le dispositif. Les toitures végétalisées présentent de nombreux avantages : elle améliore l’étanchéité de la toiture et la qualité de l’air, absorbe les bruits et favorise la régulation hygrothermique de l’air.
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© BnF

- Direction éditoriale
Françoise Juhel, Éditions multimédias, BnF

Édition
Nathalie Ryser, Pierre-Emmanuel Jouanneau, Éditions multimédias, BnF

Traitement iconographique
Gisèle Nedjar, Éditions multimédias, BnF

Fichiers numériques réalisés par le département Reproduction de la BnF
© Bibliothèque nationale de France, 2014
Tous droits réservés

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