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La maison du poète tragique, vue perspective depuis l’atrium

La maison du poète tragique, vue perspective depuis l’atrium
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L’architecte Henri Labrouste (1801-1875) a 23 ans lorsqu’il remporte le Prix de Rome, intègre la Villa Médicis et séjourne en Italie pour cinq ans. À Pompéi, il étudie les matériaux architecturaux à la manière d’un archéologue. Édifices représentés sur les mosaïques, pièces de monnaie et médailles, bas-reliefs, fresques illusionnistes retrouvées dans les maisons : il exploite l’ensemble des images et objets qui reflètent l’imaginaire architectural d’une société. La vie sociale des anciens le prépare à réfléchir à une architecture susceptible de répondre aux nécessités sociales de son temps. Ses dessins, écrit Émile Trélat, “étonnent tout le monde […]. On découvre des choses qui n’avaient pas de place autorisée dans les documents de l’académie. Dans ses relevés, il ne néglige rien, il note tout, il écrit jusqu’aux appareils et il les introduit dans ses comptes rendus. On y lit couramment l’organisme de la construction”.
© BnF
  • Auteur(es)
    Henri Labrouste (1801-1875)
  • Description technique
    Voyage en Italie : 1824-1830, dessin à la mine de plomb, plume, lavis de couleur
  • Provenance
    Bibliothèque nationale de France, département Estampes et photographie, FOL-VZ-1030 (4)
  • Lien permanent
    ark:/12148/mm320202594k