De la guerre de mouvement à la guerre de siège

Le développement de l’artillerie au 17e siècle
Le siècle de Louis XIV est marqué par de très nombreuses guerres, et par les progrès de l’artillerie. Inventé à la fin du 14e siècle, le canon ou “bouche à feu” n’utilise plus de boulets en pierre mais en fonte. Les armées abandonnent les batailles rangées de la guerre dite “de mouvement” pour la guerre “de siège” qui suscite de nouvelles stratégies de défense et d’attaque. Les fortifications de Vauban répondent à ces nouvelles exigences : elles sont pensées pour rendre les bâtiments moins vulnérables aux boulets, tout en offrant aux artilleurs assiégés une position privilégiée pour viser les assaillants.
© Bibliothèque nationale de France
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Le siècle de Louis XIV est marqué par de très nombreuses guerres. Les moyens, les effectifs, les techniques évoluent rapidement à cette période. Le canon ou “bouche à feu”, inventé à la fin du 14e siècle, n’utilise plus de boulets en pierre mais en fonte.
Les armées, plus nombreuses et mieux organisées, abandonnent les batailles rangées de la guerre dite “de mouvement” vers la guerre “de siège” qui suscite de nouvelles stratégies de défense et d’attaque.
“L’art de la guerre” nécessite des connaissances précises en mathématiques, dessin, géographie et géométrie. Des ingénieurs étudient très précisément la géométrie pour connaître les portées des projectiles, les champs de vision et de tir ou les angles morts.
La taille des talus, des remparts ou des fossés est très précisément calculée. Désormais, ces installations monumentales et complexes nécessitent le travail, sur plusieurs jours, de milliers d’hommes réquisitionnés sur le champ.

Planche montrant un tir de canon et la trajectoire du boulet
Le siècle de Louis XIV est marqué par de très nombreuses guerres. Les moyens, les effectifs, les techniques évoluent rapidement à cette période. Le canon ou “bouche à feu”, inventé à la fin du 14e siècle, n’utilise plus de boulets en pierre mais en fonte. Les armées, plus nombreuses et mieux organisées, abandonnent les batailles rangées de la guerre dite “de mouvement” vers la guerre “de siège” qui suscite de nouvelles stratégies de défense et d’attaque.
“L’art de la guerre” nécessite des connaissances précises en mathématiques, dessin, géographie et géométrie. Des ingénieurs étudient très précisément la géométrie pour connaître les portées des projectiles, les champs de vision et de tir ou les angles morts. La taille des talus, des remparts ou des fossés est très précisément calculée. Désormais, ces installations monumentales et complexes nécessitent le travail, sur plusieurs jours, de milliers d’hommes réquisitionnés sur le champ.
© Bibliothèque nationale de France
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Les Travaux de Mars, ou l’Art de la guerre
Le siècle de Louis XIV est marqué par de très nombreuses guerres. Les moyens, les effectifs, les techniques évoluent rapidement à cette période. Le canon ou “bouche à feu”, inventé à la fin du 14e siècle, n’utilise plus de boulets en pierre mais en fonte. Les armées, plus nombreuses et mieux organisées, abandonnent les batailles rangées de la guerre dite “de mouvement” vers la guerre “de siège” qui suscite de nouvelles stratégies de défense et d’attaque.
“L’art de la guerre” nécessite des connaissances précises en mathématiques, dessin, géographie et géométrie. Des ingénieurs étudient très précisément la géométrie pour connaître les portées des projectiles, les champs de vision et de tir ou les angles morts. La taille des talus, des remparts ou des fossés est très précisément calculée. Désormais, ces installations monumentales et complexes nécessitent le travail, sur plusieurs jours, de milliers d’hommes réquisitionnés sur le champ.
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