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Le plâtrier-plaquiste aujourd’hui

Le plâtrier-plaquiste aujourd’hui
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De nos jours, de nombreuses inventions ont métamorphosé le métier : inventée dans les années 1960, la machine à projeter permet un gâchage et une enduction mécanique. Un réservoir dans lequel le plâtre est hydraté et malaxé est relié à un tuyau et un pistolet que l’on dirige vers le support à plâtrer. Pour enduire un mur, il faut compter une heure de projection puis trois heures de coupe et lissage. Montée le long des murs et destinée à être enduite, la brique plâtrière (autrefois 25 x 40 cm, aujourd’hui 32 x 66 cm) représente aussi un grand gain de temps et assure une isolation supplémentaire.
Aujourd’hui, la construction en plâtre s’attache à minimiser son impact sur l’environnement. La production de plaques produit relativement peu de déchets, et la cuisson au gaz naturel se fait à basse température. Par ailleurs, les plaques ne sont pas toutes fabriquées à partir de gypse : un circuit de recyclage est mis en place pour la fabrication des nouveaux produits.
Le plâtrier construit aussi les cloisons en brique plâtrière pour la distribution des locaux et les contre-cloisons qui sont montées intérieurement contre les murs de façade. Destinée à être enduite, la brique plâtrière (autrefois 25x40 cm, aujourd’hui 32x66cm) représente aussi un grand gain de temps et participe en contre cloison aux performances d’isolation thermique.
© Bernard Charpenel / CCCA-BTP
  • Auteur(es)
    Bernard Charpenel
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